LES DERNIERS PARADES DE CES DEUX SIGNATURES NOUS DEMANDENT DE DEMANDER COMMENT CONTINUER D'INNOVER DANS L'INDUSTRIE DE LA MODE, APRÈS BEAUCOUP D'ANNÉES?
Au Mexique, l’industrie de la mode (éternellement en couches) justifie (et s’invente) elle-même (ou non).
–Emiliano Villalba
Coeditor de Última de Universal
Julia et Renata et MALAFACHA, sont des marques qui ont une grande histoire sur la scène nationale, étant des premiers designers qui ne ce sont pas uniquement arrêtés à la création de vêtements. Les deux marques se distinguent par leur atmosphère multi-sensorielle lors de ses présentations durant les semaines de la mode de notre pays.
***
Le défilé de MALAFACHA a clôturé le troisième jour du dernier Mercedes-Benz Fashion Week Mexico dans le Comité Olympique Mexicain. Une fois le défilé terminé j’ai entendu quelqu’un dans le public dire que ça lui avait manqué le grand show que la marque réalise, et j’étais d’accord avec lui. C’était la première fois qu’un défilé de MALAFACHA n’a pas retenu mon attention.
Au début, j’ai ressentis ce mystère, caractéristique de la marque, sa loyauté aux différentes beautés et son inspiration conceptuelle des éléments de notre culture.
J’ai remarqué une certaine simplicité dans certains look ce qui est anormal avec MALAFACHA. Ensuite, les modèles ont continués à défiler, j’avais une sensation de deja vu: un pantalon avec une coupe moulante, un kimono XXL plissé au niveau des épaules et des formes ovales…
La musique et les accessoires comme toujours étaient impeccables, le maquillage conceptuel et correct mais le venue ne lui a pas rendu justice. Le public ne pouvais pas vraiment apprécier les détails.
Non seulement le show n’était pas la mais je n’avais pas ce sentiment : Bien sur que c’est MALAFACHA qui a crée ceci !
Le lendemain Julia et Renata ont ouvert la journée au Fuente de los Cibeles. Ces designers créées depuis pratiquement 25 ans, faisant parti des premières références que les plus jeunes ont de la mode au Mexique.
Ses inspirations sont toujours conceptuelles et avec une forte présence spirituelle. Lors de ses défilés de la #MBFWMx les modèles marchaient sous une douce mélodie, avec l’expression « Détruire pour créer », des paroles très connues et avec un grand poids symbolique dans la nouvelle aire (spirituellement parlant) que nous vivons.
Les silhouettes qui ont défilés nous rappellent des moines tibétains, mais avec des vêtements hybrides comme des chemises, des caftans masculins et des pièces de couturiers. Tout a été subtilement construit, transmettant l’importance de valoriser l’état naturel des choses.
Conceptuellement correct mais pas provocant. J’ai commencé a ressentir ce même sentiment que la veille, j’avais la sensation que c’était quelque chose que j’avais déjà vu.
A pratiquement une décennie de ses débuts, et après ses présentations au dernier #MBFWMx nous nous sommes rendus compte que les deux marques doivent se lancer un défi, réinventer son image pour ne pas perdre sa place des les marques avant-gardistes au Mexique.
De part le changement naturel de la mode, une marque ne peut pas faire éternellement la même chose, utiliser les mêmes modèles avec une intervention ou une réinterprétation minimale ou presque inexistante.
La mode ne ce fait pas d’une seule manière, et les deux marques nous l’ont enseignées. Nous voulons voir de quelle manière elles maintiennent le désir du public et l’admiration de la scène nationale.
Compartir artículo
PHOTOS: Hannah Cauhépé y Vanessa Flores
TRADUCTION: Jennifer Grosvalet
Fecha de Publicación:
30/04 2018
if( have_rows('efn-photos') ) { ?>